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Le blog de Menon
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12 juillet 2022

La décade prodigieuse d’Ellery Queen

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Howard, fils du millionnaire Diedrich Van Horn, demande de l’aide à son ami Ellery Queen car il souffre d’amnésies inquiétantes. Craignant de commettre un crime, Howard invite Ellery dans la demeure paternelle où siège le patriarche Diedrich et sa jeune et séduisante femme, Sally. Ellery pense que surveiller Howard sera une partie de plaisir mais les choses ne vont pas tarder à se compliquer lorsque les langues des résidents se délieront.

Dans sa préface à La décade prodigieuse (1948), le cinéaste Claude Chabrol (qui a adapté le roman au cinéma) clame son admiration pour ce roman, soulignant notamment le fait que la révélation finale est encore plus extraordinaire que le mystère exposé dans le livre.

En effet, les romans d’Ellery Queen comptent parmi les classiques du genre à côté de ceux de Sherlock Holmes ou Agatha Christie. Si, pour ma part, j’ai dévoré les Ellery Queen durant mes jeunes années, il faut bien reconnaître que, l’âge allant, les œuvres des deux célèbres cousins me déçoivent. Outre un style léger, je ne suis pas toujours convaincu par la révélation finale, parfois tirée par les cheveux.

Au-delà de mes critiques, si vous aimez les romans policiers à l’ancienne, La décade prodigieuse devrait vous combler. Il s’agit d’un titre puissant que tout amateur de roman policier se doit de toute façon d’avoir lu.

 

La décade prodigieuse d’Ellery Queen (titre épuisé)

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