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Le blog de Menon
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24 octobre 2023

La femme, on la dit femme / diffame (et on a bien raison)

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Ah ! les femmes : délicieux sujet. O combien il s’avère plaisant de s’entretenir d’être aussi doux et subtils. En tout cas, on nous les vend ainsi. La réalité s’avère plus crue. (Je précise, à toutes fins utiles, que mon texte se base sur l’observation et des rencontres.)

Les femmes détestent la culture et tout ce qui élève l’âme et l’intelligence. Pour elle, il agit de prise de tête. C’est d’autant plus compréhensible lorsqu’on connaît leur centre d’intérêt majeurs : à savoir leur maquillage, leurs vêtements et ce qu’elles mangent. Une femme se révèle parfaitement heureuse quand ces trois voyants sont au vert. J’ai même rencontré une très belle jeune femme qui m’expliquait que le maquillage, « c’est sa vie. » Maquillage lui permettant de mentir sur son apparence physique, ce qui ne semble gêner personne !
J’en connais d’autre assimilant leurs escarpins « à des œuvres d’art dignes de figurer dans un musée. » (On sait à quel point les femmes aiment d’ailleurs les collectionner.) Quant à la nourriture, elle occupe aussi une place centrale (la salade étant bien placée) et sert aussi à combler leur vide. Le sucre faisant office de soupape de sécurité.

Ce qui caractérise aussi tout particulièrement les femmes tient à leur lâcheté. Si vous avez le malheur de leur avouer vos sentiments et qu’elles ne sont pas intéressées, elles préféreront refuser de vous répondre, vous laissant accumuler mails et SMS jusqu’à ce que vous n’en puissiez plus de leur silence. Un simple, Je ne suis pas intéressée suffirait mais c’est trop leur demander.

Par ailleurs, les conversations féminines se caractérisent par un manque d’intérêt troublant. Si elles ont des enfants, elles vous feront la liste de leurs petits bobos et petites manies avec un souci du détail angoissant (une femme, lorsqu’elle raconte une anecdeote, le fait sans oublier le moindre détail, transformant un résumé de 30 secondes en cours magistral de 5 minutes car tout ce qui les concerne a une importance essentielle) ; sinon, elles aborderont des sujets divers avec force gloussements hystériques avec un goût prononcé pour leur pilosité. L’une de mes collègues n’hésitait ainsi pas à s’épiler la moustache au travail – il aurait été dommage de nous épargner cette scène !

Enfin, on déconseillera à tout homme normalement constitué de vouloir prouver quelque-chose à une femme. Ces dernières supportent très difficilement qu’on les amène à penser contre elles, leurs certitudes fonctionnant comme des murs porteurs. Le pire étant de prouver à l’une d’elle qu’elle a tort. – Ceci conduit généralement la dite-femme à vriller, devenant hystérique, le visage déformé par la rage et le ton montant sérieusement dans les aigus. Vos arguments, aussi justes soient-ils, ne seront jamais examinés. Dès le moment où vous la contestez et surtout lorsque vous lui prouvez pourquoi elle se trompe, la réaction explosive ne se fera pas attendre. On notera aussi leur impolitesse - n'espérez pas un merci si vous leur rendez service. 

On rappellera aussi qu’une femme a toujours raison ; elle sait forcément mieux que vous ce qui doit être fait et comment cela doit être fait. Sa connaissance de l’actualité dépend entièrement de ce qu’elle regarde à la télévision (« C’est vrai puisqu’ils l’ont dit ! ») et, pour elle, son téléphone portable compte plus que tout. Elle passe ses journées le regard bloqué dessus à pianoter à toute vitesse et vous répond sans lever la tête.

Pour terminer, on rappellera qu’elles sont âpres au gain, n’hésitant pas à se servir de la carte bleue de monsieur. Imagine-t-on ce dernier prendre régulièrement celui de sa belle ? A moins d’être un gigolo, non. Une femme n’a pas de ces pudeurs – tout ne lui est-il pas dû ?

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