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29 mai 2015

La longue terre de Stephen Baxter et Terry Pratchett

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Résumé éditeur :

Dans les vestiges calcinés du domicile d’un scientifique discret, l’agent Monica Jansson découvre un curieux gadget : un boîtier abritant du fil de cuivre, un commutateur et… une pomme de terre. Ce « Passeur » est la porte d’entrée universelle que tout un chacun peut fabriquer pour accéder à une infinité de Terres parallèles sans présence humaine : il suffit d’un pas, un seul pas, vers l’est ou vers l’ouest.

La découverte de cette « Longue Terre » sans limites va bouleverser à jamais l’humanité. Si une ère nouvelle s’ouvre aux pionniers, les gouvernements sont moins enthousiastes à la perspective de tous ces mondes incontrôlables. Et que de questions sans réponse ! Auxquelles certains vont s’atteler. La plus improbable des missions d’exploration se prépare. À bord d’un dirigeable prennent place Josué Valienté, un jeune homme doué du talent de passer d’un monde à l’autre sans assistance mécanique, et Lobsang, une intelligence artificielle extravagante qui fut un réparateur de motocyclettes tibétain dans une vie antérieure. Un voyage aux confins de la Longue Terre les attend… Deux des plus grands noms des littératures de l’imaginaire, Terry Pratchett et Stephen Baxter, se sont associés pour composer ce roman virtuose. « Tout est possible de la part d’un excentrique, disait Jules Verne, surtout quand il est anglais. » Alors, s’ils sont deux…

 

Chronique :

On aura tout dit en assurant le lecteur de cette chronique que connaitre le résumé de La longue Terre vaut bien mieux que de perdre son temps à le lire. On s’ennuie mortellement – Baxter, une fois de plus, engage ses personnages dans d’interminables palabres ; les protagonistes de l’histoire manquent singulièrement de charisme ; et, last but not least, T. Pratchett, que l’on connaît pour son humour détonnant semble avoir limité sa participation à deux ou trois idées sans doute lancées lors d’un dîner pas assez arrosé. Quand, en plus, on sait que ce tome est le premier d’une trilogie, on aura compris que, parfois il vaut mieux s’abstenir.

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