La vierge fatale de Raoul Whitfield
« Le riche Eric Vennell a convié à bord de son yacht «La Vierge», une vedette de cinéma, un as de l'aviation, une jeune fille du monde, deux chroniqueurs sportifs, une femme de lettres sur le retour et quelques messieurs bien : tout ce monde en croisière sur l'Hudson doit assister aux régates. Mais que vient faire dans cette société déjà suffisamment disparate Mick O'Rourke, ce malabar, ancien homme de main d'un gangster défunt? Et pourquoi le jeune protégé de Vennell quitte-t-il subrepticement à la nage, au milieu de la nuit, le hangar où lui et ses camarades sont cantonnés? » (Résumé éditeur.)
Je l’ai lu, ce roman, avec un ennui total, me fichant complètement de l’histoire et de ses personnages – rien n’ayant réussi à capter mon attention, d’autant que le style embrouillé n’aide pas. Alors, certes, c’est un classique puisque paru en 1934, mais je ne vois pas l’intérêt de lire ce genre de titre aujourd’hui tant ce type de récit stéréotypé s’avère totalement dépassé.
La vierge fatale de Raoul Whitfield (Gallimard, 256 pages, épuisé)