Mer déchaînée
Je le sais, tu me manques et lorsque je me retrouve, dans le secret de mon coeur, assis sur le bord de la plage, le sable chaud étendu sous ma peau, je le sais bien, oui, que chaque vague me ramène à toi...
Vivre. Respirer. Écrire. Mon être bat comme un coeur en cavale et ma rivière jamais ne se tarit grâce à toi, animal lové dans le creux de mon sein.
Figue mangée : puisque tes lèvres sont sucrées laisse moi donc les embrasser... Enfin, au moins essayer... puis-je le voler, ce baiser ? Puis-je m'envoler et t'aimer ? Puis-je ou ne dois-je pas demander ?
Oh, qu'il est doux de regarder ton corps se mouvoir, et ta chair je veux la baiser avec un tendre désespoir comme si elle allait fondre sous mon tourment.
Et j'ai encore l'espoir
que mon rêve ne soit pas qu'une ombre dans le creux de mon âme,
mais peut-être une lumière qui éclaire mon au-delà.